Du continent (hors Italie), la solution la plus simple et quasiment la moins coûteuse pour accéder à la Corse est le NGV (Navire à Grande Vitesse) : 2h45 à 3h30 de trajet de Nice vers Calvi, l'Ile-Rousse, Ajaccio et Bastia (également Toulon-Ajaccio). 3 compagnies sont disponibles pour la traversée : La SNCM, Corsicaferries et la Méridionale (CMN).
L'arrivée la plus proche se situe à Porto-Vecchio, mais une arrivée par le nord vous permettra de commencer votre voyage par la traversée de la Corse et de découvrir ses multutudes de paysages.
Les aéroports de Corse
Figari Sud Corse (Figari), à 61 km
Bastia (Borgo), à 104 km
Ajaccio Campo Dell'Oro (Ajaccio), à 124 km
Calvi Ste Catherine (Calvi), à 166 km
Nous vous proposons un appartement climatisé de 3 pieces rénové, en rez de jardin avec une terrasse de 80m² et disposant d'un jardinet de 200 m². 4 personnes y profiteront confortablement d'une grande vue sur la mer.
Situé dans une ancienne fonderie de Solenzara, ce petit immeuble au charme ancien, entièrement restauré, ne dispose que de trois appartements disctincts. Une garantie de tranquilité.
L'appartement s'oriente vers le port avec une terrasse de 80m² en front de mer, dont vous ne vous lasserez pas d'admirer les variations colorées des levers de soleil.
La residence est située dans un parc, suffisamment éloigné de la route pour garantir une isolation totale du bruit automobile et la sécurité des enfants.
La location est disponible, par semaine, du samedi 15h00 au samedi suivant 10h00, du 13 mai au 14 octobre. Période Tarif du 11 mai au 01 juin 350€ du 01 JUIN au 22 juin 450€ du 22 juin au 29 juin 550€ du 29 juin au 06 juillet 690€ du 06 juillet au 13 juillet 790€ du 13 juillet au 24 aout 890€ du 24 août au 31 aout 690€ du 31 aout au 14 septembre 550€ du 14 septembre au 28 septembre 450€ du 28 septembre au 12 octobre 350€
Une caution de 250 € vous sera demandé en début de séjour, restitué en fin de séjour.
UN FORFAIT MENAGE OBLIGATOIRE DE 60 € VOUS SERA DEMANDE EN FIN DE SEJOUR. Réserver
Première dégustation de l'AOC
L'événement marquant de ces journées sera la première présentation d'huiles ayant obtenu l'AOC “Huile d'olive de corse - Oliu di corsica”. Une dégustation a permis à chacun d'apprécier la saveur des huiles retenues, en présence des responsables de la filière oléicole et des divers décisionnaires ayant contribué à l'élaboration de ce label dont Sainte Lucie de Tallano s'est fait l'ambassadrice au fil des éditions d'A Festa di l'Oliu Novu.
A FIERA DI U MARE est née d'une initiative d'un groupe de personnes soucieuses de revaloriser l'image de leur commune. De plus, de par ses atouts géographiques, économiques, humains, Solenzara se devait naturellement d'accueillir une telle manifestation.
Située au pied des Aiguilles de Bavella, la Côte des Nacres offre au regard ses plages de sable fin et de ses cotes dentelées. Solenzara et ses alentours furent ainsi dans l'antiquité, un lieu de refuge privilégié pour les marins. Elle devint même, à l'orée de la révolution industrielle, un centre portuaire et manufacturier.
Aujourd'hui, notre commune peut être fière de son port de plaisance, qui a reçu depuis quelques années l'emblème du pavillon bleu et qui connaît une hausse continue de fréquentation.
L'activité commerciale de Solenzara témoigne également du dynamisme d'une population tournée vers l'avenir. Le tissu associatif de notre commune est un autre exemple de cette volonté de développement. Il se renforcera s'il trouve l'accueil et les soutiens nécessaires.
Solenzara dispose de potentialités réelles qu'il s'agit de valoriser dans l'intérêt de tous. La Foire de la Mer s'inscrit dans cet objectif :
* Elle se veut un lieu de rencontre pour tous les acteurs de la mer, commerçants, industriels, sportifs. * Elle a pour ambition d'être un lieu d'échange culturel.
Aussi les organisateurs ont ils privilégié les conférences dont le thème central " la préservation de la qualité de notre environnement" est le garant de notre avenir.
A 30 km au sud de Solenzara et 50 km au nord-ouest de Porto-Vecchio.
Bavella est un haut lieu de la montagne corse. Et pour cause : à la fois massif, col et forêt, il résume à lui seul les particularités du relief de l'île, à savoir des formes pérpétuellement délirantes et des couleurs qui vont du rouge le plus clair au gris le plus sombre, le tout saupoudré d'immenses forêts de pins laricio.
Les plus beaux panoramas, notamment sur les aiguilles de Bavella, sont à voir au col du même nom (1218m. d'altitude), en plein parc régional. C'est aussi le point de départ de nombreuses randonnées pour tous niveaux, notamment la curiosité généologique du "trou de la Bombe". Accessible en 1h à l'ombre des pins, elle permet d'approcher sans trop de dangers l'univers de la haute montagne.
Depuis la côte orientale, deux routes permettent d'y accéder : la D368 depuis Porto-Vecchio et Zonza, et plus au nord, la D268 depuis Solenzara. C'est cette dernière, très sinueuse et souvent étroite, qu'il faut emprunter pour se rendre compte de la variété des paysages, depuis la rivière Solenzara et ses piscines naturelles jusqu'aux immenses parois rocheuses à l'approche du col. On préférera la D368 pour redescendre sur Porto-Vecchio, via le très beau massif de l'Ospédale. Le village du même nom offre notamment une très belle vue sur le golfe de Porto-Vecchio.
Attention : l'été, ces routes ressemblent à l'itinéraire du Tour de France, tant les touristes sont nombreux...
Bonifacio La Génoise
Bonifacio est une citée exposée au large et aux vents qui s'engouffrent dans le goulet avec une violence inouïe.
Lorsque ce souffle prend possession de la ville , malheur à celui qui s'y promène. Sa puissance est telle qu'il bouscule les moins solides. Passé la porte du pont-levis, la vieille ville, où le parler reste le génois et non le corse, se referme sur elle-même. Car Bonifacio a gardé son aspect d'origine, ou peu s'en faut.
[...]La vue de Bonifacio par la mer est l'une des plus réputées. Le bateau longe les immenses murs blancs dont les encorbellements s'avancent au dessus de nous.
Puis la ville apparaît qui semble nous regarder d'en haut. On a peine à retenir sa crainte de voir chuter ces immeubles aux ouvertures innombrables et minuscules.
Du port jusqu'à la Citadelle monte un chemin qui surplombe la marine et le goulet. Au début du siècle, les ânes encombraient cette route ; des centaines d'ânes qui approvisionnaient la vieille ville. Les Bonifaciens surnommaient cette procession de bourricots "le métro de Bonifaziu". Les braves bêtes amenaient le boire et le manger aux habitants de la ville supérieure. Lorsque le soleil se levait, cette armée d'ânes commençait à braire, réveillant les pauvres citadins qui joignaient leurs insultes au tintamarre animal.
Peu après, les porteurs d'eau se répandaient dans les ruelles encaissées, hurlant : "Acqua, acqua fresca." La force et l'habitude leur permettaient de monter les jarres pleines jusqu'en haut de ces escaliers érigés droit comme des échelles.
Bonifacio est une ville religieuse par excellence. Je garde le souvenir de ces cortèges qui lors des grandes fêtes chrétiennes parcouraient la Citadelle silencieusement. Il s'en dégageait une atmosphère de crainte et de respect que j'associe depuis à l'odeur des cierges qui hante les églises.
Celle de Saint Dominique est la plus vaste de Corse. Les Templiers entamèrent sa construction et elle fut terminée au XIV ème siècle grâce aux subsides versés par les habitants. Extrait de Terres de Corse Gabriel-Xavier Culioli
Porto Vecchio resta longtemps la mal aimée des villes fondées par les Génois.
L'Office de Saint Georges la construisit en 1539 afin de clore sa ligne de défense insulaire.
Malgré un panorama splendide, le site resta malsain, environné par des marais qui exhalaient leur putride haleine et leurs essaims d'anophèles. Le paludisme décima une première vague de colons, puis une seconde, implantée en 1546. L'occupant y assigna à résidence des Corses qu'il avait auparavant spoliés de leurs terres. On imagine aisément l'entrain de ces nouveaux habitants, désignés volontaires.
En 1564, Sampiero Corso s'empara de la cité et fit alliance avec les Barbaresques. Les Génois appelèrent à l'aide les Espagnols qui, à l'automne, reprirent Porto Vecchio.
La ville ne connut guère d'essor jusqu'à l'assainissement des marais par les troupes américaines en 1944. Dépassé par sa brillante concurrente Bonifaziu (Bonifacio), elle resta longtemps une halte pour bergers, et le lieu de production du sel et du liège.
Extrait de Terres de Corse Gabriel-Xavier Culioli
Du continent (hors Italie), la solution la plus simple et quasiment la moins coûteuse pour accéder à la Corse est le NGV (Navire à Grande Vitesse) : 2h45 à 3h30 de trajet de Nice vers Calvi, l’Ile-Rousse, Ajaccio et Bastia (également Toulon-Ajaccio). 3 compagnies sont disponibles pour la traversée : La SNCM, Corsicaferries et la Méridionale (CMN).